
Le séisme aura forcé des Népalaises à s’exiler, devenant ainsi des cibles faciles pour les réseaux d’exploitation sexuelle.
L’exode de sa main-d’œuvre rapporte au Népal 30 % de son PIB. À la suite du tremblement de terre du 25 avril dernier, davantage de travailleurs migrants grossissent les rangs de ce flot déjà intarissable. Pour les femmes, cet exil pour faire vivre la famille restée au pays se transforme parfois en exploitation sexuelle. Des recruteurs ont d’ailleurs été aperçus dans les zones les plus touchées peu après le séisme.
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